mardi 28 août 2012

David in the cuisine... Pâtes aux scampis & mascarpone


Je vous abandonne un peu en ce moment. Il me reste moins de  4 semaines avant l'arrivée de ma petite mistinguette, enfin si tout va bien... car j'ai pour consigne de rester allongée un maximum. C'est un peu pénible et la cuisine me manque beaucoup. Je pensais encore vous faire découvrir quelques recettes cet été mais je vais devoir reporter pour quelques temps mes nouveaux essais culinaires. Je serai donc un peu moins présente jusqu'à la naissance de ma fille mais si Steph n'est plus "in the cuisine", il faut quand même  bien manger et c'est donc mon mari qui me mitonne des petits plats. 

Donc, histoire de ne pas vous laisser complètement ces prochaines semaines, c'est par l'intermédiaire de David que je vous propose certaines petites recettes...

Mon remplaçant a trouvé ces "pâtes aux scampis et au mascarpone" dans un de ces nombreux magazines gratuits que les grandes surfaces publient de plus en plus face à l'engouement général pour la cuisine. Une sauce au mascarpone... Des scampis... moi aussi je me serais laissée tentée. 



Ingrédients (pour 5-6 personnes)

30 scampis surgelés décortiqués
500 g de tomates cerises
500 g de mascarpone
500 g de pâte fraîche type "linguines"
250 mL de crème fraîche liquide
1 gousse d'ail
Sel, poivre
Paprika
Poivre de cayenne
1 petit bouquet de ciboulette
huile d'olive






Pensez à dégelez les scampis bien à l'avance.

Pelez la gousse d'ail, enlevez le germe et hachez le reste. Coupez en deux et dans le sens de la longueur les tomates cerises.

Versez un filet d'huile d'olive dans une grande poêle ou un wok. Sur feu moyen, faites revenir quelques instants l'ail haché et ajoutez les morceaux de tomates cerises. Laissez cuire les tomates 2 minutes. Réservez le tout sur une assiette mais gardez la poêle pour préparer la sauce un peu plus tard.

Dans une autre poêle, faites chauffer un filet d'huile d'olive sur feu vif. Baissez le feu quelques peu et ajoutez les scampis. Salez et poivrez la première face et laissez cuire 2 minutes 30 à 3 minutes (selon le calibre des scampis). Retournez les scampis. Salez et poivrez l'autre face et laissez cuire également 2 minutes 30 à 3 minutes. En fin de cuisson. Saupoudrez d'un peu de paprika. Réservez les scampis au chaud.

Dans la poêle dans laquelle vous avez préparez les tomates, faites fondre sur feu moyen le mascarpone. Allongez la sauce avec de la crème liquide pour la rendre un peu plus onctueuse. Salez, saupoudrez de paprika et de poivre de cayenne. Ajoutez les tomates, une partie des scampis et la ciboulette ciselée et réchauffez doucement la sauce.

Préparez les pâtes (comme indiquer sur le paquet ou quelques minutes dans de l'eau salée bouillante pour de pâtes "maison")

Servez les pâtes avec la sauce au mascarpone. Déposez quelques scampis pour décorer et de la ciboulette ciselée.

Les petits plus de David : la recette originale ne comporte pas de crème liquide mais il en a rajouté pour éviter d'avoir une sauce trop compacte. Soyez généreux en paprika et/ou en poivre de cayenne pour donner du goût à ce plat.  Et pour teminer, le premier jour, c'est bon, le lendemain, c'est meilleur.

vendredi 10 août 2012

Pesto alla Genovese & petite salade de pâtes express pour accompagner un barbecue

Et si on révisait un peu nos classiques italiens... 

D'abord reconnu pour ses vertus médicinales par les romains durant l'Antiquité, associé ensuite à la sorcellerie au Moyen-âge, le basilic commence à être utilisé dans la cuisine dans une petite région côtière au Nord de l'Italie au XIXe siècle. Les collines génoises se remplissent de petites serres dans lesquelles on cultive cette plante aromatique.  C'est donc en Ligurie et à cette époque qu'est né le pesto, ce produit typique italien connu maintenant dans le monde entier.

Pourquoi faire son pesto soi-même surtout quand il existe un nombre considérable de marques qui en propose dans nos supermarchés ??? Parce que c'est meilleur, pardi ! Le goût du basilic est décuplé, et il est nettement moins salé que celui que vous achetez tout fait. Et pour ceux qui pensent que c'est difficile, je les rassure, ça prend 5 minutes. Bon, OK, si vous le faites à l'ancienne, c'est à dire au pilon et au mortier, cela risque de prendre un peu plus de temps. Je ne contredirai pas les puristes car il n'y a rien de telle que la bonne vieille méthode pour libérer tout les arômes du basilic. Mais mixer vos ingrédients dans un blender, ça donnera de toute façon un meilleur résultat que d'ouvrir simplement un bocal en verre. La satisfaction de l'avoir préparé soi-même en plus...




Ingrédients 

1 gros bouquet de basilic
2 gousses d'ail
65 g de parmesan fraîchement râpé
65 g de pignon de pin
100 mL d'huile d'olive





Pelez les gousses d'ail. Coupez-les en deux dans le sens de la longueur et enlevez le germe.

Prélevez les feuilles de basilic. Versez-les dans le bol d'un blender. Ajoutez les gousses d'ail, les pignons de pin et le parmesan fraîchement râpé. Arrosez avec la moitié d'huile d'olive. Mixez une première fois. Ajoutez le reste d'huile et mixez jusqu'à obtention d'une belle consistance.
(Vous pouvez utiliser un mixer plongeur.)
Si vous vous lancez dans la préparation du pesto à l'ancienne, pilez le basilic, l'ail, le parmesan et les pignon de pin. Terminez par ajouter l'huile d'olive pour lier les différents ingrédients. 

Faire du pesto, ce n'est pas sorcier et j'avoue préparer le mien toujours un peu "au pif". Pour écrire la recette, j'ai donc pris le temps de prendre les mesures mais elles sont là à titre indicatif car l'avantage de faire son pesto soi-même, c'est de pouvoir suivre ses envies : plus de basilic, moins d'ail, un peu plus liquide ou un peu plus épais,... Vous pouvez l'utiliser dans des préparations chaudes ou froides. Aujourd'hui, je vous propose une petite salade de pâte qui accompagnera très bien vos grillades au barbecue. C'est vite fait, bien fait. En écrivant la recette, je pense à ma amie Séverine chez qui j'ai l'habitude d'en manger et chez qui je me régale lorsque nous profitons de son jardin pendant les beaux jours.

Ingrédients
350 g de pâtes sèches
Tomates cerises ou tomates séchées
Pesto alla genovese
Copeaux de parmesan pour décorer.

Préparez les pâtes comme indiquer sur le paquet. Faites-les refroidir sous l'eau froide. Egouttez bien.
Ajoutez le pesto et mélangez.
Coupez les tomates cerises (ou les tomates séchées) en deux et ajoutez-les à la salade de pâtes.
Décorez de copeaux de parmesan.

mardi 7 août 2012

Cake aux figues, Serrano & thym

Quand on vide une pièce et qu'on fait un peu le tri dans ses affaires, on retombe sur des petites choses intéressantes comme des anciennes fiches de cuisine.
Voilà une recette qui m'avait bien tentée mais que j'ai remisée sur une étagère depuis l'année dernière.
J'ai un peu modifié certains ingrédients en fonction de mes goûts et puisque l'association des figues et du jambon Serrano avait bien plu il y a quelques semaines, je me suis permise de les remettre en présence dans ce cake salé à servir à l'apéro ou en entrée. 



Ingrédients :

8 figues séchées
200 mL d'eau très chaude
2 càs de porto rouge
7 tranches de jambon Serrano
2 branches de thym
3 oeufs
180 g de farine + 20 g
1 sachet de levure chimique (11 g)
100 mL de lait entier
100 mL d'huile d'arachide
100 g de gruyère râpé
50 g de parmesan fraîchement râpé
poivre





Préchauffez le four à 180°C

Faites tremper les figues dans de l'eau chaude dans laquelle vous aurez ajouté deux cuillères à soupe de porto rouge au préalable.

Pendant ce temps, coupez les tranches de jambon Serrano en lanières et effeuillez le thym. Réservez.

Dans un grand bol, fouettez 180 g de farine, la levure chimique et les 3 oeufs. Ajoutez ensuite le lait, l'huile, le gruyère, le parmesan, et le poivre. Mélangez bien le tout entre chaque ajout.

Egouttez les figues et coupez-les petits morceaux. Saupoudrez-les des 20 g de farine restante. Mélangez. Ajoutez alors les morceaux de figues farinés, les lanières de Serrano et le thym dans la pâte. Mélangez.

Versez la pâte dans un moule en silicone (24 cm de long pour 8,5 cm de large), lissez la surface et enfournez pour 30 à 35 minutes. Surveillez la fin de la cuisson jusqu'à ce que le cake soit gonflé et bien doré. Sinon poursuivez la cuisson quelques minutes.

Laissez refroidir suffisamment pour démouler.

Coupez en tranches épaisses. Servez à l'apéro ou en entrée avec une petite salade de roquette et de betterave agrémentée d'une petite vinaigrette rehaussée de vinaigre balsamique à la figue.

vendredi 3 août 2012

Recuerdos de Andalucia (deuxième partie) : Ronda

Hemingway a écrit : "La ville entière, et aussi loin que porte le regard dans le paysage alentour, tout n'est que décor romantique". Rainer Maria Rilke la décrit à son ami Rodin comme "un site incomparable, une gigantesque structure de roches qui porte sur son dos une petite ville blanchie et reblanchie à la chaux et qui fait un pas vers l'autre rive avec elle sur ses flancs..."



Dressée sur une falaise tombant en à-pic dans le rio Guadalevin, Ronda est l'une des plus anciennes villes d'Espagne. Véritable nid d'aigle dans la Sierra andalouse, elle est convoitée et conquise par de nombreuses armées : romaines, arabes, catholiques, et même les troupes napoléoniennes passèrent par là.
La ville est séparée en deux par "el Tajo", la faille au fond de laquelle coule la "rivière de lait", le Guadalavin.
Ce sont les Arabes qui lui donnèrent peu à peu le visage de la  ville que nous connaissons en renforçant ses murailles et en construisant de nombreux édifices importants au Sud de la faille. 

"El Tajo", la faille qui coupe la ville en deux

Après la reconquête par les Rois Catholiques, Isabelle de Castille et Ferdinand II d'Aragon, les terres de l'ancienne taïfa de Ronda furent divisées et distribuées en remerciement aux valeureux chevaliers ce qui eut des conséquences désastreuses pour l'économie de la cité. Une intolérance religieuse dans toute la région provoqua le départ des arabes et des juifs. Ronda devra attendre le XVIIIe siècle pour que la ville connaisse un nouvel essor. C'est donc à cette époque que furent construit de nouveaux quartiers au Nord de la faille avec les arènes et le fameux Pont Neuf reliant ancienne et nouvelle ville.

Puente Nuevo

Le Puente Nuevo, le Pont Neuf qui enjambe avec ses trois arches cette gorge impressionnante à 98 m de hauteur est construit tout en pierre à la fin du XVIIIe siècle. Il aura fallu 42 ans entre le début du chantier et son inauguration en 1793. Véritable symbole de la ville, c'est l'attraction touristique par excellence. Mais au risque de casser l'image romantique du lieu, bien des événements tragiques s'y sont produits. L'architecte qui conçut le pont descendit avec une nacelle pour inspecter son oeuvre. lorsqu'il tenta de rattraper son chapeau qui s'envolait, il bascula et s'écrasa dans le ravin. Par la suite, la partie centrale du pont devint une prison et pendant la période sombre de la guerre civile, les opposants au régime francquiste étaient jetés vivants depuis le haut du pont. Hemingway s'inspira de ces faits pour son  roman "Pour qui sonne le glas".
Pour profiter de la vue présente sur toutes les cartes postales, il fut descendre un chemin qui commence Plaza Auxiliadora dans la vieille ville. 

Plaza Maria Auxiliadora

Autre symbole construit dans la même période que le Pont Neuf, la Plaza de Toros mérite une petite visite. Même si vous n'êtes pas fan de tauromachie, il s'agit d'une des plus vieilles arènes d'Espagne et aussi d'une des plus belles. C'est ici que la Corrida moderne vit le jour et dont les règles furent instituées au XVIIIe siècle. 
Le bâtiment est de style néoclassique en grès jaune doré, dont les gradins sont répartis en deux niveaux superposés et possèdent 136 colonnes avec 68 arcs et le toit est recouvert de tuiles arabes. Son diamètre est de 60 mètres et sa capacité de 6000 spectateurs. En-dessous des gradins, un musée retrace 300 ans d'histoire de la tauromachie. 
On raconte que Orson Welles voulait que ses cendres soient dispersées dans le sables de l'arène de Ronda pour se mêler au sang des taureaux et des toreros mais ce privilège lui fut refusé. Les cendres furent répandues dans un domaine privé où le célèbre acteur et réalisateur  séjourna quelques temps à la fin de sa vie.

Plaza de Toros
Il faut ensuite se perdre dans le vieux quartier au Sud de la ville : les ruelles sont pavées de galets, les fenêtres protégées par des grilles en fer forgé, et les maisons pleines de charme éclate par leur blancheur. On peut y visiter de nombreux édifices comme la Casa del Rey Moro qui n'a rien de Maure puisqu'elle date du XVIIIe. On dirait une maison hantée mais ces petits jardins andalous en terrasse vaut le coup d'oeil. On peut surtout accéder à une mine fortifiée du XIVe siècle. A voir aussi au Sud du Pont Neuf, les bains arabes ou le Palacio de Mondragon.

Le quartier Sud de Ronda perché sur son roché

Notre promenade nous mène à la sortie de la ville en contrebas du vieux quartier où résistent quelques pans des anciennes murailles de l'Alcazaba. Derrière elle, on aperçoit l'église gothique Espiritu Santo construite en 1505 sous le règne de Ferdinand le Catholique.

Muraille de l'ancienne forteresse arabe et Eglise Espiritu Santo

Si vous arrivez devant la forteresse arabe et la plaza Ruedo Alameda, je vous propose une pause gastronomique bien méritée. L'Almocabar ressemble à un "petit buibui" : à l'intérieur, c'est à peine si il y a quatre tables mais qu'à cela ne tienne, si vous voulez réellement manger à l'intérieur, les garçons vous en dresse une cinquième. Ici, les hommes servent et les femmes cuisinent. Et quelle cuisine !!! C'est magnifiquement bien dressé, les plats sont raffinés. On n'imagine pas une telle gastronomie à cette endroit. Je vous conseille de commencer par le gaspacho de la maison : la cuisinière ajoute une écume sucrée tout à fait surprenante dans cette soupe froide typique du Sud de l'Espagne. C'est tout à fait délicieux et cela ne gâche rien à la recette originale. Pour un repas léger, la salade "Almocabar" avec son fromage du pays, sa pâte de coings, ses morceaux de poires et des pignons de pins vous fera penser à notre traditionnel salade de chèvre frais mais avec une touche d'originalité, un petit "je ne sais quoi" de différent. Les amateurs des produits de la mer pourront se régaler de la salade tiède de coquilles Saint Jacques et gambas, vinaigrette moutarde et miel. Et croyez moi sur parole, il y a plus de Saint Jacques et de Gambas que de morceaux de salade ! Pour les plus grands appétits, je recommande la morue confite ou le magret de canard. Pour terminer le repas en légèreté, n'hésitez pas à commander une de leur glace. Que vous commandiez un petit ou un grand repas, on commence toujours par vous servir une coupelle que le serveur remplit d'huile d'olive (espagnole bien sûr) d'une qualité exceptionnelle. Il la saupoudre ensuite d'un peu de sel noir volcanique. Il ne reste qu'à tremper un morceau de pain tout juste sorti du four. Simple mais efficace. Une pure merveille.... Le soir, alors que les températures se sont rafraîchies, la terrasse est parfaite pour déguster tous ces petits plats. Sur la Place Ruedo Alameda, en tant que touristes, on y vit véritablement à l'heure espagnol !!!

L'Almocabar


Pour terminer notre petite expédition dans la région de Ronda, je vous propose de séjourner au "Molino del Arco". Je n'ai pas l'habitude de parler de mes lieux de repos mais ce petit hôtel rural est un petit bijou dans un écrin de verdure,  situé à une dizaine de kilomètres de Ronda, perdu dans la campagne. Le personnel est charmant et prévenant, les chambres joliment décorée (meubles campagnards, lit à baldaquin), patios remplis de fleurs et beaux jardins. Et bien entendu pour les enfants et même les adultes qui ont envie de se rafraîchir après une journée passée sous le soleil andalou, une piscine complète le tableau.

Le Molino del Arco



mercredi 1 août 2012

Muffins Triple Choc ou Muffins Super Choc pour petits et grands champions

Mon fils est scotché devant les jeux olympiques. On pensait qu'il ne regarderait que la natation qui l'a déjà fortement impressionné mais il a ouvert de grands yeux quand il a vu les gymnastes masculins se dépasser au différents agrès. Et il ne veut pas rater les épreuves de plongeon non plus. Depuis qu'il a vu ces sportifs s'élancer à plusieurs mètres au dessus de l'eau , il m'a dit "maman, je veux faire ça !". En voilà un qui est motivé ! D'un autre côté, j'ai une future boxeuse qui prend mon ventre pour son petit ring personnel ! Ca promet ! Et au milieu de tout ça, mon cher et tendre est un véritable champion de l'empaquetage et du démontage de bureau. L'autre jour, il a soulevé des caisses remplies de livres et je me demande comment il ne s'est pas cassé le dos. Il n'y a pas le choix, il faut bien avancer... il reste environ 8 semaines avant l'arrivée de notre petite louloute !
Et bien c'est pas tout ça mais il faut bien nourrir toute cette graine de champion. Un petit muffin aux trois chocolats pour commencer la journée... Je ne vais pas proposer le régime "spécial sucres lents" pour mon futur plongeur tout de suite, alors en attendant je lui ai préparé une petite douceur comme il les aime. Et pour mon grand champion du déménagement, un muffin tout chocolat noir !!!



Pour ces deux recettes à réaliser en compagnie de vos loulous éventuellement, utilisez un robot. Si vous n'en n'avez pas, utilisez un batteur électrique pour amalgamer les ingrédients surtout lors de la dernière étape de la préparation de la pâte.

Les Muffins Triple Choc

Ingrédients (pour 8 gros muffins)

100 g de sucre
125 g de farine (anglaise McDougalls ou Francine fluide)
4 oeufs
1 càs de lait entier
125 g de beurre ramolli
1 sachet de levure chimique (11 g)
une pincée de sel
40 g de pépites de chocolat au lait
40 g de pépites de chocolat noir
40 g de pépites de chocolat blancs





Préchauffez le four à 180°C

Mélangez la farine avec la levure chimique. Tamisez le tout dans un autre bol. Réservez.

Cassez les oeufs et séparez les blancs des jaunes. Réservez les blancs et versez les jaunes dans un grand bol. Ajoutez le sucre et fouettez vigoureusement. Ajoutez le beurre. Fouettez. Ajoutez une cuillère à soupe de lait. Fouettez.
Incorporez petit à petit le mélange farine/levure. 
Montez les blancs d'oeufs en neige et ajoutez-les à la pâte petit à petit. Mélangez une dernière fois vigoureusement au batteur électrique pour donner une texture plus aérée à la pâte.

Mélangez les différentes pépites de chocolat. Ajoutez les 3/4 dans la pâte et mélangez une dernière fois.

Déposez une caissette en papier dans 8 moules à muffins. Remplissez de pâte au 3/4. Déposez les restes des pépites sur le dessus de chaque muffins. Enfournez pour 20 minutes.

Laissez les muffins refroidir sur une grille. 



Les Muffins Super choc

Ingrédients (pour 8 gros muffins)

100 g de sucre
125 g de farine (anglaise McDougalls ou Francine fluide)
4 oeufs
1 càs de lait entier
125 g de beurre ramolli
1 sachet de levure chimique (11 g)
40 g de cacao en poudre de bonne qualité
une pincée de sel
120 g de pépites de chocolat noir






Préchauffez le four à 180°C

Mélangez la farine avec la levure chimique et la poudre de cacao. Tamisez le tout dans un autre bol. Réservez.

Cassez les oeufs et séparez les blancs des jaunes. Réservez les blancs et versez les jaunes dans un grand bol. Ajoutez le sucre et fouettez vigoureusement. Ajoutez le beurre ramolli. Fouettez. Ajoutez une cuillère à soupe de lait. Fouettez à nouveau.
Incorporez petit à petit le mélange farine/levure/cacao. 
Déposez une pincée de sel dans les blancs d'oeufs et montez-les en neige ferme. Ajoutez-les à la pâte petit à petit. Mélangez une dernière fois vigoureusement au batteur électrique pour donner une texture plus aérée à la pâte.

Ajoutez les 3/4 des pépites dans la pâte et mélangez une dernière fois.

Déposez une caissette en papier dans 8 moules à muffins. Remplissez de pâte au 3/4. Déposez les restes des pépites sur le dessus de chaque muffins. Enfournez pour 20 minutes.

Laissez les muffins refroidir sur une grille. 

A déguster comme en Irlande, au petit déjeuner avec une grande tasse de lait froid ou un bon chocolate chaud ! Depuis l'année dernière, je repensais justement aux délicieux muffins que nous achetions le matin à Clifden.

Vous avez peut-être remarqué que j'utilise souvent de la farine McDougalls dans certaines de mes recettes. Pour tout ce que qui est pâtisserie anglaise, je ne peux que vous conseiller une telle farine. Elle a une texture très fine et donne plus de moelleux à vos muffins ou vos cupcakes.  Et l'utilisation du robot confère aussi plus de légèreté à vos gâteaux.